Editorial – revue n°28

Quatre thèmes sont développés dans le volet médical.

L’utilisation de substances psychoactives est associée à des risques divers, psychiatriques et neurologiques mais le risque de décès est dû particulièrement aux complications cardiovasculaires.

Par assimilation aux accidents électriques, on décrit des foudroyés, personnes qui sont décédées et des fulgurés, celles qui ont survécu à un coup de foudre. Pour traiter la pathologie qu’ils présentent, une pratique médicale se met en place : la médecine kéraunique.

La prévention d’un bon nombre de cancers, de leur survenue et de leur récidive représente un véritable enjeu de santé publique où l’activité physique joue un rôle démontré par de multiples études scientifiques.

La télésurveillance médicale est un acte de télémédecine qui « a pour objet de permettre à un professionnel médical d’interpréter à distance les données nécessaires au suivi médical d’un patient et, le cas échéant, de prendre des décisions relatives à sa prise en charge.

Le volet culturel s’intéresse au Mensonge, une parole de mauvaise foi qui déforme la réalité et la remplace par une fiction, dans l’intention de tromper ou de produire une illusion provoquant le malaise dans les relations humaines. Mensonge et superstition font bon ménage. Selon la gravité du diagnostic ou la sévérité du pronostic, le mensonge par omission, participait de la dimension humaine de la médecine. Mais la loi relative aux droits des malades du 4 mars 2002 fait obligation de dire la vérité au patient : toute personne a le droit d’être informée sur son état de santé.
Dr Elie ATTIAS